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[Therian] Gabriel Alvarez
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Admin

Messages : 138
Date d'inscription : 14/07/2018
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Sam 30 Avr - 17:52

Gabriel Alvarez

20/12/1997 • 24 ans • Venezuela • Célibataire • Therian • FPJ • Bisexuel • Mécanicien • Civil
Profil PsychologiqueGabriel est un jeune homme "à fleur de peau", un écorché vif qui est incapable de se laisser aller à moins de s'abrutir à l'aide d'alcool ou d'un joint. Il contient difficilement toute la colère et la rage qu'il porte en lui depuis sa plus tendre enfance comme d'autre porte leur vêtement. Hypersensible, les petits rien, qui affectent à peine les autres, laisse en lui de profondes marques, que ce soit les joies ou les peines. Il intériorise tout et éprouve beaucoup de mal à exprimer ses émotions. Cet aspect de lui pourrait laisser penser à un léger degré d'autisme bien que ce ne soit pas le cas. Élevé à la dure, dans la violence la plus crue, la plus sordide, toutes ses émotions sont aussi dévastatrices et difficile à gérer qu'un ouragan. Pourtant, derrière sa façade bourrue et revêche se cache un grand coeur capable de souffrir ou de s'égayer autant que les autres. Ses peines, il les refoule, plus par crainte de se montrer faible mais aussi par peur de ses propres réaction. Quant à ses joies, elles lui donnent seulement un une expression plus légère, moins torturée qui a aussi le don de séduire son entourage, d'autant qu'elles ne durent pas très longtemps, vite rattrapées par les sombres émotions qui l'habitent et lui rendent une expression fermée, difficile à approcher.

Gabriel est convaincu qu'il n'a rien à apporter de bon aux gens qui l'entourent, rien à part la dévastation, la colère et la violence. Son passage en centre de détention pour mineur lui a au moins appris la patience, lui permettant de supporter beaucoup de conneries avant d'exploser quand il atteint ses limites. C'est un être violent, tout comme ses émotions parfois trop pesantes, trop envahissantes, étouffantes. Il ignore comment les gérer et parfois ressent le besoin de cogner dans quelque chose en y mettant toute sa force, sa hargne. C'est un jeune homme qui se cherche et qui cherche également quelque chose à quoi se raccrocher quand ses émotions l'emportent dans leur véhémence, lui donnant l'impression de couler, de tomber... Donnez lui un but, une cause en laquelle il peut croire et vous aurez le meilleur soldat que vous pourriez espérer, mettant toute sa détermination à atteindre l'idéal que vous lui avez fait miroiter.

Malgré tout ça, Gabriel est un protecteur dans l'âme, s'en prendre à un innocent le rendrait tout simplement malade, de même que rester de marbre face à la violence gratuite, physique ou verbale... Pour lui, le monde est déjà assez sombre sans en plus ajouter à sa laideur par des actes de violence envers quiconque ne l'a pas mérité ou ne peut y répondre. Gabriel n'est pas serviable pour un sous, ne comptez pas sur lui pour aider une petite vieille à traverser la rue avec ses sacs de courses mais en cas de problème, il sait être l'homme de la situation. Il a ses coups de coeur, comme tout le monde, des personnes bien souvent plus vulnérables que lui, dans une situation plus merdique que la sienne et qui ne risquent pas d'être une menace pour lui... Les responsabilités, il n'en veut pas, il a déjà bien assez à faire avec les siennes qu'il assume pleinement, parfois trop, bien trop pour un jeune homme d'à peine vingt-quatre ans...

Tout cela, n'est que la partie émergée de l'iceberg, il faut creuser encore et encore pour comprendre toute la complexité de Gabriel et il est bien rare qu'il le permette. Creuser un peu trop, c'est prendre le risque de le voir se fermer, dresser les murs derrière lesquels il se cache, au pire, il vous plantera là et prendra ses distances sans vous laisser le temps de protester... Alors, creuser mais soyez prudent...
SignalementQuoi qu'il fasse ou quoi qu'il mange, Gabriel ne connaîtra pas le problème de l'embonpoint. C'est le type d'homme à l'aspect physique quelque peu desséché, noueux, au ventre plat, aux épaules tombantes et aux membres qui n'en finissent pas. Lorsqu'il marche, c'est comme s'il était en train d'arpenter un terrain, tellement il allonge ses jambes démesurées, remarquez qu'avec son mètre quatre-vingt-onze, il lui serait difficile de faire autrement. La voix est grave et forte quand il veut se faire entendre, aux chaudes intonations, celle à laquelle toute personne vraiment sensuelle aurait du mal à résister, sans parler de ses lèvres charnues et pourtant indéniablement masculines. Son regard vert, vif et teinté d'une certaine malice quand il est de bonne humeur, a tôt fait de décontenancer celui qui essaie de lui mentir. N'oublions pas non plus la tignasse marron, coupée courte et tombant sur la nuque et malgré tout soyeuse au toucher. Sa musculature en ferait baver plus d'une et certainement plus d'un mais ce n'est pas pour autant qu'il l'exhibe, même s'il n'est pas spécialement pudique physiquement. Loin d'être l'unique résultat de la génétique, c'est le résultat de son travail mais aussi de son entraînement régulier. On ne boxe pas sans un minimum de préparation, surtout quand il n'y a aucune règles sur le ring... Ses mains sont caleuses, résultat de son travail et pourtant, elles restent souples bien que loin d'être délicates. Elles sont pourtant capables d'une certaine calligraphie fluide mais néanmoins franche.

Inutile d'espérer de lui qu'il s'habille autrement qu'avec des fringues pratiques, simples et surtout pas chères. Gucci, Ralph Laurent, Lacoste... Autant de marques qu'il ne portera jamais. Pour lui, un jeans reste un jeans, pourquoi le payer 100$ alors qu'il peut s'en trouver un pour cinq fois moins cher au supermarché ou la friperie du coin... Le luxe, il ne connait pas et n'en rêve même pas, pas parce qu'il n'en a pas les moyens, même si c'est le cas, mais parce qu'il n'en voit pas l'intérêt. Il en va de même pour tous ses vêtements qui se composent de jeans, de survêtements sportif, de t-shirts, de débardeurs, de pulls et d'une ou deux chemises qu'il ne porte que pour les grandes occasions. Une veste en cuir, en jean doublée de peau de mouton, une paire de gants, une écharpe et un bonnet, quelques bandanas qu'il porte généralement lorsqu'il travaille afin de préserver sa tignasse de la graisse des voitures qu'il retape. Ses biens les plus précieux se limitent à un lecteur MP3 sur lequel sont installées diverses chansons de vieux rock, de jazz et diverses musiques latines.

Sous sa forme animale, Gabriel revête l'apparence d'un jaguar à la robe fauve et aux rosettes brunes, presque noires. Sa taille est quasiment identique à celle de son apparence humaine, à peine quelques centimètres de moins pour un poids de 95 kilos. Le dessous de son corps, la gorge, la face intérieure de ses pattes et le bas de ses flancs sont de couleur plus claire, proche du blanc. Les taches sur sa tête, son cou et sa queue sont bien distinctes des autres taches ; elles sont pleines (sans rosette). Sur son cou, les taches se rejoignent pour former des rayures.
Parcours─ Es-tu en colère, Gabriel ?

Pendant trois ans, cette question avait été récurrente lors de ses séances avec le docteur Nichols. Il avait appris à y répondre correctement au fil du temps, peu importe que ce soit vrai ou non. La seule chose qui comptait était de sortir du centre correctionnel pour jeunes therians délinquants juvéniles dans lequel il avait été enfermé de quinze à dix-huit ans. Il avait eu hâte de sortir de cet endroit...
Putain ! J'avais besoin de me tiré de là avant de faire une connerie qui m'enverrai au "Zoo", cette prison pour therians dangereux.

─ Es-tu en colère, Gabriel ?
Oui. Toutes les foutues journées que Dieu faisait ! Chaque minute de cette chienne de vie !


Sa soeur, Camila et son mari, Luis, ont hérité de lui un jour pluvieux de mars, quatorze ans plus tôt, quand le THIRDS de Las Vegas avait téléphoné pour qu'ils viennent le récupérer. Diego, son père, venait d'être arrêté et sa mère s'était barrée il y avait déjà bien longtemps, le laissant derrière elle sans une once de remords. Elle avait sauvé sa peau même si, pour ça, elle avait dû sacrifier la sienne. Bizarrement, son père l'aimait ─ il était peut-être la seule personne sur cette terre pour qui il avait de l'affection, ou du moins, ce qui s'en rapprochait le plus. Il n'avait jamais levé la main sur lui, ni haussé la voix quand il lui parlait. Il s'était contenté de lui inculquer ses valeurs, son mode de vie ; sa rudesse et sa violence aussi. Il avait grandi dans un univers où les lumières étaient belles uniquement parce qu'on ignorait ce qu'elles cachaient.

Il n'avait jamais mis les pieds à l'école avant que sa soeur n'obtienne sa garde ─ et ce ne fut pas une grande réussite. Lire, écrire et compter, Il l'avait appris dans un entrepôt où passaient des cargaisons d'armes, avant d'être redistribuées aux plus offrants. Entre additions et multiplications, lectures et dictées, Il avait vu des types s'envoyer des rails de coke, des hommes se faire tabasser, des putes venir chercher de l'argent en échange d'informations sur leurs clients. Quelques flingues braqués sur des tempes, quelques détonations. Alors que les gamins de son âge étaient allongés sur le tapis de leur salon, regardant leurs dessins animés préférés, Diego lui faisait compter des liasses de billets verts. Sa première transformation, il l'a vécue le jour de l'arrestation de son père, entre la panique et la douleur de ce qui lui arrivait et celle de se voir retirer le seul parent qu'il ait jamais eu.
Camila n'avait pas hésité à le prendre chez elle, même si elle n'avait que vingt-cinq ans à l'époque, qu'elle n'avait jamais entendu parlé de lui et que leur mère s'était bien gardée de lui dire qu'elle avait fait un gosse avec un criminel, lorsqu'elles se parlaient encore.

Luis et Camila lui avaient donné leur affection, leur attention, leur temps et leur patience. Dans cette petite maison de Chicago, ils lui avaient offert une place au chaud, loin de cette vie sombre, violente et dissolue que son père lui avait fait mener jusqu'alors. Il avait vraiment essayé d'oublier, d'être quelqu'un d'autre. Mais on n'échappait pas à ce qu'on était. Et le soir, alors que le silence de la maison devenait comme une berceuse, il s'asseyait dans le fauteuil du salon ─ celui près de la fenêtre ─ et il regardait dehors pendant des heures.
Luis et Camila auraient voulu lui rendre son enfance, mais on ne redonnait pas quelque chose qui vous avait été arraché. Il n'était pas un gamin de dix ans. Il était le fils de Diego Alvarez, le plus grand contrebandier du Nevada, un type qui avait frayé avec des groupes terroristes, des gouvernements oeuvrant en sous-marins, et quiconque avait assez d'argent pour se procurer ses armes. Il se moquait bien de savoir où elles allaient finir et à quelles fins elles allaient servir. Du moins, jusqu'au jour où il fut arrêté et balancé en prison pour une liste de chefs d'accusation tellement longue que c'était presque un miracle qu'il n'ait écopé que d'une peine de vingt-six ans de détention.
Camila avait assisté au procès. Il avait attendu qu'elle l'appelle, le soir, pour lui faire le compte rendu de la journée de témoignages. Après une semaine d'audience, le verdict était tombé. Il n'avait pas sourcillé, ni crié, ni versé une larme. Il savait que son père n'y passerait pas plus de quelques mois, quelle que soit la lourdeur de la sentence. On ne laissait pas un homme comme Diego Alvarez en prison ─ pas alors qu'il connaissait tant de secrets pour négocier sa libération. Ce n'était plus qu'une question de semaines avant qu'on ne le retrouve mort dans sa cellule. Alors quand le téléphone avait sonné, trente-six jours plus tard exactement, il avait su. Il n'avait pas eu besoin que Camila le lui dise, pas eu besoin de l'entendre. Il s'était seulement assis sur le fauteuil du salon ─ toujours celui près de la fenêtre ─ et il avait regardé la nuit tomber.
C'était ça... La nuit était tombée...

Il avait eu onze ans, douze. Puis treize. Quatorze. Et quinze... Il était entré au lycée...
Chicago n'avait rien de Las Vegas mais au fil du temps, cette ville était devenue la sienne. Ses quartiers, ses coins sombres surtout. Il écoutait battre son coeur quand elle devenait obscure, comme la pulsation d'une violence tapie en lui. Comme un animal sauvage prêt à attaquer.
Il avait collectionné les rendez-vous avec tous les professionnels de l'enfance qui étaient censé aider l'adolescent à devenir un adulte socialement acceptable mais il restait le reflet de son père. Chaque bagarre, chaque coup de poing le rapprochait un peu plus de son père et le rendait plus furieux encore.
Puis vint le jour où tout bascula. Il fallait bien que ça arrive, il marchait sur une corde vacillante, tendue au-dessus du vide, depuis des années. Il n'avait simplement pas prévu la chute, sa chute à lui...
Lui
, c'était Victor Bannerman, fils du P.D.G. de Bannerman Technologie, un géant de l'informatique.
Il aurait pu être un fils de riche comme les autres, étalant son fric à la face des autres, un petit con prétentieux qui aurait se serait trimballé avec son rang social affiché sur son polo Lacoste et dont chaque pas vous aurait fait sentir à quel point vous lui étiez insignifiant. Mais tout le monde aimait Vicky... Tout simplement parce qu'il était... lui. Il était déjà en dernière année alors que Gabriel commençait tout juste le lycée. Leur première rencontre lui avait laissé un profond souvenir. Il avait débarqué dans sa Mini Cooper turquoise, les cheveux teint dans un bleu presque aussi turquoise que sa voiture, la démarche légère dans son pantalon trop moulant, son manteau cintré sur sa taille trop fine... Gabriel l'avait détesté pour ça, lui à qui coûtait le moindre pas, le moindre geste... Victor était lumineux et il lui en voulait pour ça.

Ils se sont souvent croisés, l'un souriant, provoquant de son regard gris comme le ciel juste avant une tempête de neige, l'autre grinçant des dents, bousculant le premier. Jusqu'à cette fois de trop, trop près des escaliers, d'un sac dans le passage... Jusqu'à la chute dans les escaliers avec pour seul résultat un corps étendu, une jambe pliée dans un angle improbable, une ligne de sang sous la tête qui bientôt serait aussi large qu'une flaque d'eau. Il n'avait pas bougé, figé, comme en état de choc alors que les autres se précipitaient vers le corps inerte au bas des marches. Ce n'était qu'un accident, rien de prémédité, rien de réfléchi. Une simple bousculade comme ils en avaient tant eu. Cette dernière avait tourné de façon inattendue et l'instant d'après, on le conduisait dans une cellule dans ce centre de redressement...

Trois années d'enfer, trois années de thérapie chaque semaine et toujours cette question...
─ Es-tu en colère, Gabriel ?

Il était rentré chez Camila et Luis, il n'y était resté que quelques mois, le temps de se trouver un boulot comme mécanicien et un appart qui avait tout du cagibi insalubre avec ses cafards dans la penderie et les murs décrépis, la peinture écaillée. Il avait gardé le contact, un peu. Quelques semaines. Passait de temps en temps, pas longtemps, juste pour les rassurer sur le fait qu'il était encore en vie.
Une tombe qu'il s'était mis à visiter chaque semaine, des lettres qui s'accumulaient derrière la pierre tombale dans une boîte enterrée, une date pour seule adresse...
Puis, étaient venus les combats. Il était costaud, il avait la rage au ventre et aucun exutoire en dehors d'un sac de frappe suspendu au plafond de sa chambre qui dérangeait pas mal les voisins chaque fois qu'il cognait dedans.
Son propriétaire l'avait remarqué, lui avait parlé d'un club où s'entraîner avant de le conduire à son premier combat. Les mois ont passés, il avait coupé tout contact avec sa famille, ne restait plus que son boulot et cette fureur qu'il expulsait trois fois par semaine face à un autre tout aussi enragé que lui. Il était devenu un oncle. C'est son patron qui le lui avait appris. Camila avait tenté de le joindre mais sans réponse de sa part, elle avait contacté son employeur. Encore une vie qu'il ne ficherait pas en l'air s'il gardait ses distances.

Les années avaient passés. Les femmes aussi, blondes, brunes, rousses... Des corps de passages pour évacuer un peu de cette tension après un combat. Aucune pour rester, aucune satisfaction non plus... Une tombe qu'il avait continué de visiter, des lettres qui avaient continué à s'amonceler. Un regard gris clair, un sourire malicieux qui avaient continué, continuaient et continueraient encore de le hanter. La colère toujours présente...
Sa voisine de pallier et son mac de petit copain qui lui refusait d'arrêter de faire le tapin, leur petite fille ou du moins la sienne à elle... Une dispute qui avait dégénéré, des coups qui avaient été donné, les cris de détresse d'une gamine d'à peine 3 ans à travers les murs aussi fins que du papier de l'appart et Gabriel ne l'avait plus supporter. D'autres coups avaient été donnés, le mac expulsé d'un appartement si semblable au sien, une morveuse endormie dans ses bras pendant que sa mère effaçait les traces de sang sur son visage. La colère, toujours la colère mais aussi un brin de tendresse pour le petit être fragile qui n'a rien demandé de tout ça, le regret de ne pas connaître son neveu et la crainte de bousiller sa vie et celle de ses parents s'il réapparaissait... Les combats, toujours plus durs...

Il avait eu des défaites, il avait eu des victoires, plus de victoires que de défaites. Jusqu'à présent... Une défaite en particulier qui lui avait valu d'être repéré et récupéré par Tobias Green contre une jolie enveloppe bien garnie de billets vers. Il avait même eu droit à un nouveau boulot. Enfin, pas si nouveau que ça, toujours le même mais dans un lieu différent, ça ne changeait pas grand chose pour lui... Le boulot restait le boulot, celui dans lequel il s'était immergé, pour oublier un moment tout ce qui n'était pas droit dans sa vie, la musique à fond dans ses oreilles. Ce type qu'il avait furieusement sauté dans une des backrooms d'un club et qui lui ressemblait mais pas tout à fait non plus. L'incompréhension de son geste et ce poids dans sa poitrine, un pardon qui ne viendrait jamais, qu'il ne pourrait jamais s'accorder non plus...

Il avait finalement déménagé, embarquant sa voisine de pallier et sa fille en même temps que ses cartons, échangeant son placard contre un appart où les cafards n'avait pas élu domicile, où la peinture ne tombait pas des murs et où on n'entendait pas le voisin s'envoyer en l'air avec sa copine du moment. Un appart plus grand parce qu'avec ce qu'il gagnait à présent, il pouvait se le permettre même si le quartier n'était toujours pas des plus fréquentable...

NOTE : Ce personnage est inspiré de "Gabriel Perez" du livre Wild Heart de Lily Haime.
Awful pour Epicode
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